Of the 46 least developed countries (LDCs), 16 are at different stages of graduation. And, though graduation offers many opportunities, it also presents its own unique challenges for countries in this category. As such, various international support measures (ISMs) have been put in place, or extended, to ensure smoother transitions and sustained developmental progress in the post-graduation phase.

• Although the services sector has emerged as a new engine of economic growth, the lingering effects of the COVID-19 pandemic have severely affected services exports from the least developed countries (LDCs), with an approximate loss of almost USD 29 billion in foregone exports over the past three years. • While global services exports have rebounded from the shock of the COVID-19 pandemic, the recovery in the LDCs is lagging, potentially with long-term consequences for achieving the ambitions of the Doha Programme of Action for the LDCs and several Sustainable Development Goals. • Urgent actions by the LDCs and their trading and development partners to improve utilization of the WTO Services Waiver, incentivize foreign direct investment (FDI) and technology transfer, promote regional trade initiatives, leverage Aid for Trade, and address the digital divide can help reverse this trend, enabling the LDCs to benefit from a services-led transformation.

The Doha Programme of Action for LDCs (least developed countries), adopted by UN member states in 2022, emphasizes that LDCs need assistance to help them graduate from their least-developed status and outlines a smooth transition plan. Some LDCs, however, are using their own proactive strategies to not only graduate from the LDC category but to do so on a solid footing that ensures a sustainable and irreversible graduation. Cambodia, which is projected to graduate from LDC status by 2027, is one such country. The country has even taken bold steps to expedite its transition to an upper-middle-income country by 2030 and a high-income country by 2050.

• Si le secteur des services s'est révélé être un nouveau moteur de croissance économique, les effets persistants de la pandémie de COVID 19 ont toutefois gravement touché les exportations de services des pays les moins avancés (PMA), dont les pertes se sont élevées à près de 29 milliards d'USD d'exportations perdues au cours des trois dernières années. • Les exportations mondiales de services se sont certes redressées après le choc provoqué par la pandémie, mais dans les PMA, la reprise ne suit pas, ce qui pourrait avoir des conséquences à long terme sur la réalisation des ambitions énoncées dans le Programme d'action de Doha pour les PMA et de plusieurs Objectifs de développement durable. • Des mesures devraient être prises d'urgence par les PMA et leurs partenaires en matière de commerce et de développement afin d'améliorer le recours à la dérogation de l'OMC concernant les services, d'encourager l'investissement étranger direct (IED) et le transfert de technologie, de promouvoir les initiatives en faveur du commerce régional, de mobiliser l'Aide pour le commerce et de réduire la fracture numérique, ce qui contribuerait à inverser cette tendance et permettrait aux PMA de tirer parti d'une transformation induite par les services.

Le Cadre intégré renforcé (CIR), qui aide les pays en développement à jouer un rôle plus actif dans le système commercial mondial, a soutenu le développement de l'infrastructure qualité en cofinançant l'initiative sur l'Infrastructure de qualité pour le Pacifique.

Les lacunes en matière de technologie, d'infrastructures et de compétences, en particulier dans les pays les moins avancés (PMA), ont souligné la nécessité d'aider les entrepreneurs à saisir les possibilités offertes par la transformation numérique.

Tous ces facteurs sont étroitement liés et indiquent qu'il importe de promouvoir une politique industrielle plus active, parallèlement aux initiatives en matière commerciale qui occupent une place centrale pour la ZLECAf. C'est particulièrement important pour les pays les moins avancés (PMA) en Afrique.

L'établissement de liens en amont et en aval de la production entre le secteur agricole et le secteur manufacturier, par l'ajout de valeur aux produits de base, devrait être une priorité pour les PMA. La progression par étapes vers l'industrialisation grâce au renforcement des capacités de production, avec le soutien des partenaires de développement, garantira que le processus soit durable, solide et mène vraiment les PMA sur la voie du développement.

Le changement climatique a aussi des répercussions sur le commerce. Les phénomènes météorologiques extrêmes peuvent réduire la productivité, augmenter les coûts et les perturbations des chaînes d'approvisionnement à court terme et modifier les avantages comparatifs et la spécialisation des pays à long terme. D'après le Rapport sur le commerce mondial 2022 de l'OMC, il a été constaté qu'une augmentation de la température de 1ºC fait baisser la croissance annuelle des exportations des pays en développement de 2,0 à 5,7 points de pourcentage.

Les pays comme le Bhoutan qui ont de bons résultats sur le plan environnemental devraient bénéficier d'un soutien au commerce par une reconnaissance et un traitement prioritaire automatiques de leurs exportations comme étant propres et vertes. Cela donnera une forte impulsion au renforcement de la capacité de production et contribuera à accroître les ambitions climatiques et commerciales.

Parallèlement aux dommages causés à l'écosystème et à la santé humaine, le changement climatique agit également sur la façon dont les pays commercent et sur les produits échangés. Par exemple, l'évolution des températures et des conditions météorologiques influence le rendement des cultures et, partant, le commerce des produits agricoles. Le changement climatique peut engendrer des perturbations graves et coûteuses pour l'infrastructure liée au commerce, puisque l'élévation du niveau de la mer menace les ports maritimes et la hausse des températures affecte et endommage les voies ferrées. Le tourisme est un autre secteur d'importance cruciale pour le commerce dans lequel les variations des conditions météorologiques influent sur les destinations de voyage et l'infrastructure sous-jacente.

Il est impératif de mobiliser l'Aide pour le commerce pour le financement de l'action climatique en faveur des PMA mais, pour ce faire, il est indispensable d'assurer une meilleure coordination à l'échelle gouvernementale, de mener des réformes politiques en vue d'améliorer les conditions de l'activité des entreprises, de renforcer les capacités de manière à attirer et à retenir l'investissement et d'apporter des moyens et des compétences afin de mobiliser des ressources supplémentaires. Une telle approche, qui implique une collaboration et met à profit la puissance des partenariats, peut faire la différence et permettre de garantir que les besoins des PMA en termes d'adaptation et d'atténuation des effets des changements climatiques soient correctement financés.

Les 30 et 31 juillet 2022, ce sont près de 300 mm de pluie qui sont tombés sur Banjul (Gambie) et sa région.

Un meilleur accès au financement du commerce dans les pays les moins avancés (PMA) pourrait permettre aux entreprises de disposer des outils financiers nécessaires pour participer au commerce national, régional ou mondial.

Le succès de la ZLECAf réside dans le franchissement du "dernier kilomètre". La connectivité et la mobilité sont essentielles.

Le 4 décembre 2020, le Vanuatu a renoncé à être officiellement classé dans la catégorie des pays les moins avancés (PMA) du monde.

           Historiquement, la production manufacturière a été le moteur de la croissance économique des pays en développement, mais une nouvelle étude de la Banque mondiale souligne le potentiel du secteur des services dans ces pays.

Alexander Kasterine examine la manière dont les préoccupations liées aux changements climatiques modifient les exigences du marché pour les exportateurs de produits alimentaires des pays en développement

  Initialement publié le 19 août 2021 par le Forum économique mondial

Une initiative multilatérale pourrait promouvoir l'intégration dans les chaînes de valeur et accroître le commerce mondial

Une nouvelle étude montre que la conservation de l'environnement et le tourisme peuvent aller de pair et fait des recommandations concernant la manière d'y parvenir.

La pandémie de COVID‑19 a transformé l'écosystème commercial pour les femmes des pays en développement

Éviter les risques et les difficultés pour les pays qui s'efforcent de réduire la pauvreté et de lutter contre le changement climatique

L'obtention d'une certification biologique pour le karité peut être toute une aventure

L'adoption d'applications facilite la tâche des agriculteurs et des entreprises

La reprise prend une forme inattendue

Le nouvel accord commercial implique la prise de mesures par les pays et les communautés économiques régionales

L'adoption de telles normes dans la production des PMA est prometteuse, mais il reste du travail à faire

Alors que la crise liée à la COVID‑19 est loin d'être terminée, que le changement climatique ne cesse de s'accélérer et qu'une crise économique se prépare, les enjeux sont plus importants que jamais.

Les multinationales et les gouvernements doivent reconnaître l'interconnectivité du monde commercial et ses conséquences

Une ouvrière du secteur de l'habillement dans une usine de confection ayant réouvert pendant la pandémie de COVID‑19 à Dacca, au Bangladesh.

Le pays se lance dans une nouvelle stratégie touristique dans le cadre de l'édification de son secteur commercial

Une académie forme des jeunes à intégrer le commerce mondial

Partenariat public privé pour augmenter les recettes issues du karité

Alors qu'ils doivent s'adapter à la COVID‑19 et à d'autres facteurs exogènes qui influent sur les cours mondiaux de la fibre, les petits producteurs et les transformateurs des PMA pourraient tirer un revenu supplémentaire des coproduits du coton.

Le pays, qui sort d'un conflit, s'emploie à atteindre des objectifs en matière de commerce régional et mondial.

Cet article a été initialement publié sur le site web ONUDI le 20 November 2020.

Au Bangladesh, la COVID 19 est plus lourde de conséquences pour la main d'œuvre féminine

Ventilation des données relatives aux capacités de production, à la dette et autres dans les pays les plus pauvres du monde.

L’intégration dans une ou plusieurs chaînes peut permettre aux PMA de se spécialiser dans certaines tâches ou modules de production en évoluant progressivement vers des taches plus complex

Les effets cumulés des tendances préexistantes concernant les technologies, les politiques et la durabilité et de la crise liée à la COVID se conjuguent pour que déferle une "tempête parfaite" sur le système de production internationale et les CVM.

Cabo Verde est souvent décrit comme un pays qui "sort des sentiers battus", comprenne qui pourra. En réalité, ce petit État composé de 10 îles a parcouru bien du chemin depuis le XVe siècle, époque à laquelle des marins portugais ont fait escale pour la première fois sur l'archipel désert.

Le Myanmar déployait déjà des efforts pour aider ses entreprises à développer leur présence en ligne. La pandémie de COVID 19 a été l'occasion d'accélérer les choses.

Le Cadre Intégré renforcé explore le travail de ses Unités de mise en œuvre basées dans des pays en situation de fragilité et leur rôle dans l'intégration du commerce dans la reconstruction de ses pays.

Transformer les soins de santé là où c'est le plus nécessaire

La pandémie de COVID-19 est révélatrice de la chaîne de valeur mondiale (CVM) dans laquelle nous vivons; ce qui se passe dans un pays a de profondes répercussions, voulues ou non, sur l'ensemble des pays.

Dans le secteur des médicaments, la vente au détail et la logistique en Afrique sont des activités très fragmentées

Comment le pays peut-il mieux se reconstruire?

Avec une conférence numérique couvrant les principaux aspects du commerce mondial, qu'est ce qui compte pour les pays les plus pauvres du monde?

De nouvelles idées et de nouveaux partenariats dans deux pays africains

L'augmentation du nombre de formatrices dans le domaine du commerce au service du développement pourrait faire une grande différence

Une fabricante de sacs à main artisanaux fait progresser son entreprise et reçoit un nouveau financement

Most of Rwanda’s cross border traders are women and rely on cross-border trade as their sole source of income. According to a recent assessment by Pro-Femmes/Twese Hamwe, the Rwandan umbrella organisation for women’s associations, most cross border traders have experienced not only a large loss in revenue due to border closures but also a complete depletion of their savings.

La COVID 19 met en évidence les interconnexions qui existent au sein du commerce de produits agroalimentaires; en outre, des efforts doivent être faits pour agir en vue d'instaurer des systèmes alimentaires sûrs.

Il a noté que, grâce à la formation, il était désormais capable de distinguer la reine des ouvrières, et que le groupe de nouveaux apiculteurs pouvait obtenir des conseils et des renseignements auprès d'un agent de vulgarisation agricole et des formateurs.

New paper looks at the supply chain dimension of African trade during and post-COVID

Du secteur de la pêche à l'accession à l'OMC, une analyse de la situation économique du pays offre des perspectives pour l'avenir

Women workers in global value chains have been disproportionately affected by COVID-19.

Originally published by THOMSON REUTERS FOUNDATION NEWS on 18 August 2020

Suite à la numérisation des documents commerciaux, la numérisation du commerce implique une utilisation fonctionnelle des données pour améliorer le potentiel d'automatisation des processus transfrontières.

Une transformation numérique urgente est nécessaire afin de mettre en place un système de dédouanement sûr et sécurisé pour le commerce électronique transfrontières dans les pays les plus pauvres du monde

Pour une jeune chef d'entreprise, participer à une foire commerciale internationale a suffi à lancer ses affaires

Le potentiel de renforcement du système était grand, qu'il s'agisse d'améliorer la qualité et l'emballage des pommes de terre mises en vente par le Bhoutan et de rendre les prix plus compétitifs ou de réduire le délai de transaction pour les agriculteurs.

Les produits alimentaires représentent environ 17% des importations de marchandises des PMA, soit plus du double de la moyenne mondiale (8%).

Pandémie de COVID-19: quel contexte macroéconomique pour le commerce des pays en développement

Comment les PMA peuvent s'adapter en période de crise mondiale

Les systèmes des semences de l'OCDE visent à protéger les systèmes alimentaires à l'échelle mondiale et offrent des avantages considérables aux pays les moins avancés

Bien que les PMA représentent 13,3% de la population mondiale, leur part des importations médicales liées à la COVID-19 n'est que de 1%.

Six nouveaux objectifs pour une coopération régionale

L'effondrement du commerce provoqué par la pandémie due au coronavirus a mis en évidence la fragilité des chaînes d'approvisionnement soigneusement construites dans l'industrie mondiale de la mode, et les asymétries avec lesquelles elles sont régies.

Comment faire en sorte que les femmes qui récoltent le karité tirent profit de leur participation au marché mondial

Le monde change, et le soutien que nous apportons aux pays les plus pauvres devrait en tenir compte

Pour que le processus de sortie de la catégorie des PMA reprenne et pour aider d'autres PMA, la réforme du système international de soutien doit être radicale et vaste.

Quel sera l'impact du reclassement sur les PMA d'Asie du Sud et sur le soutien commercial dont ils bénéficient? Comment peuvent ils se préparer?

Analyser les répercussions potentielles dans les PMA; formuler des recommandations politiques pour limiter les dommages, amorcer une reprise et accroître la résilience

La COVID 19 fait ressortir la nécessité d'un commerce sans papier dans les pays en développement; une étude récente a donné lieu à des recommandations sur la façon d'engager ce processus

Despite the COVID-19 pandemic’s travel impacts, West Africa’s objectives remain valid

Les ministres du commerce jouent un rôle essentiel dans la réponse à la pandémie

L'accès à l'information par le biais de la technologie pourrait améliorer les rendements et les revenus des producteurs de coton en Afrique

Trade ministers are playing an essential role in the pandemic response

La pauvreté, les inégalités et l'exclusion sont des facteurs clés qui contribuent aux effets dévastateurs de la COVID 19 sur tous les pays africains.

Originally published by the International Food Policy Research Institute (IFPRI) on 27 March 2020

La possibilité de refondre les procédés de fabrication grâce aux nouvelles technologies numériques et aux données ouvre des perspectives de remaniement du développement industriel dans les pays les moins avancés.

Des politiques commerciales adéquates aideraient le monde à lutter contre la pandémie actuelle

L'ODD 2 engage les gouvernements à éliminer la faim, à assurer la sécurité alimentaire, à améliorer la nutrition et à promouvoir l’agriculture durable et est assorti de cinq cibles spécifiques qui définissent le niveau et la portée de cet objectif

Transformer les économies des pays les moins avancés nécessite une vision soutenue au niveau national sur la manière de surmonter les principaux obstacles à une production à plus forte valeur ajoutée.

Originally published in OECD-Development Matters on 31 January 2020

Initialement publié le 10 février 2020 dans le cadre du Programme du Forum économique mondial

Originally published by OECD-Development on 5 February 2020

L'agriculture 4.0, stimulée par l'innovation et la technologie, est le catalyseur de systèmes alimentaires plus productifs, plus efficaces et plus durables.

Le Global Trade Alert, qui a pour but de surveiller les actions des gouvernements et leur influence sur le commerce mondial, examine, dans son dernier rapport, si l'accès des pays en développement aux grands marchés étrangers a changé avec l'avènement du populisme.

Les efforts d'informatisation du système de délivrance de permis CITES sont un exemple de la manière dont la facilitation des échanges pourrait s'appliquer dans le secteur de la faune et de la flore sauvages.

La première partie a montré que, en raison de l'accroissement des inégalités dans de nombreux pays les moins avancés, la sortie de la catégorie des PMA ne signifie pas pour autant la fin des difficultés pour de nombreuses personnes.

Ayant identifié ce potentiel grâce à une étude de la situation commerciale du pays, le gouvernement nigérien et le Cadre intégré renforcé (CIR) ont collaboré afin d'établir des bases formalisées et répondant aux normes pour le commerce des peaux et du cuir dont la population pourra tirer profit.

Pour être efficaces, les mesures existantes et futures des pays émetteurs concernant l'IED sortant doivent être adaptées aux besoins et réalités des PMA.

Pour les pays émergents d'Asie, les chaînes de valeur mondiales ont été un pilote essentiel de la croissance tirée par les exportations, mais leurs caractéristiques et leurs rôles seront différents après la "grande" guerre commerciale.

Un chercheur principal de l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) parle des économies basées sur l'agriculture et de la façon dont la situation commerciale actuelle entre les États Unis et la Chine atteint les populations pauvres.

Un mécanisme multilatéral mondial de partage des avantages est l'instrument approprié par lequel les pays riches en biodiversité peuvent recevoir une compensation pour les ressources génétiques utilisée dans le domaine de la propriété intellectuelle.

Il est urgent de mieux comprendre les liens entre le commerce et les changements climatiques dans le contexte des pays les moins avancés (PMA).

La sortie de la catégorie des pays les moins avancés (PMA), une étape importante dans le développement d'un pays, n'est pas exempte de controverses.

Les pays les moins avancés (PMA) font face à un contexte difficile s'agissant du commerce mondial: les taux de croissance à long terme sont moins élevés, le protectionnisme augmente et le lien direct entre la croissance du commerce et celle du PIB se distend.

De nombreux pays parmi les moins avancés sont exposés à des catastrophes naturelles récurrentes, qui accentuent les difficultés existantes, perturbent les investissements à long terme et détournent les ressources initialement dédiées au développement au profit de la reconstruction.

Porteuse de croissance grâce au commerce électronique, à la facilitation des échanges et aux indications géographiques

Le système international régissant l'environnement et l'économie est mis à rude épreuve. C'est toutefois dans le domaine du commerce que les pays les moins avancés (PMA) ont peut être le plus à perdre des dysfonctionnements de l'ordre mondial.

L'attention de tous étant concentrée sur la guerre tarifaire entre la Chine et les États Unis, une dynamique inquiétante observée dans la politique commerciale de nombreux pays a été ignorée.

Si nous avons à cœur de transformer la vie des femmes dans le monde entier, nous devons commencer par les pays les moins avancés

Initialement publié le 13 août 2019 dans le cadre du Programme du Forum économique mondial

Au cours des deux dernières décennies, la communauté internationale s'est réunie à de nombreuses reprises pour définir une stratégie susceptible d'apporter paix, prospérité et développement durable pour tous.

Initialement publié le 4 juillet 2019 dans le cadre du Programme du Forum économique mondial.

Initialement publié le 24 juin 2019 dans le cadre du Programme du Forum économique mondial

Le gouvernement et la NASFAM recherchent même de nouveaux marchés dans lesquels déverser la production agricole du pays, cherchant à commercer avec les pays voisins et avec l'Europe pour y écouler ses produits transformés.

Le gouvernement axe ses efforts sur ses précieuses ressources que sont l'ylang‑ylang, la vanille et le clou de girofle – des cultures de rapport essentielles compte tenu de la demande mondiale. Grâce au partenariat avec le CIR, l'établissement de coopératives, la formation de femmes entrepreneurs comme Houria et l'aide aux petites entreprises par la fourniture de cuves, d'étiquettes et d'articles nécessaires à la transformation ont jeté les bases d'un accroissement des échanges pour le pays.

En Gambie, la noix de cajou a été repérée par l'EIF et le gouvernement comme l'une des industries à fort potentiel de croissance. En apportant son soutien à l’ensemble de la chaîne de production du cajou - des champs agricoles à la construction d’une nouvelle installation de fret - l'EIF a doté les producteurs de noix de cajou de nouvelles compétences et a apporté la certification de sécurité alimentaire nécessaire à l’exportation vers des marchés comme l’Union Européenne (UE).

Diverses études soulignent les avantages d'un modèle économique plus inclusif